CULTURE PARTAGÉE

J'ai découvert la ville de Brest sans la connaître. Je ne sais pas ce qu'elle était mais je me pose des questions quant à son devenir. A force d'étouffer la végétation sous du béton et du bitume, on espère l'anéantir, laissant place à des bâtiments, des transports ... Mais à un moment donné, la nature reprendra ses droits. La végétation doit être le synonyme de demain. Des propriétés dépolluantes déjà avérées, cette nature doit peupler nos villes, la faire respirer. Que la végétation envahisse les trottoirs en béton, que la mousse pousse entre les panneaux "à vendre". Remplaçons les départs humains du haut de la rue Jean-Jaurès par une arrivée végétale, prête à ramper et à se développer afin d'habiter et de cohabiter dans la ville.